La franc-maçonnerie plonge ses racines au cœur des guildes médiévales, où des tailleurs de pierre, détenteurs d’un savoir ancestral, répondaient aux besoins des bâtisseurs d’édifices d’importance.
Ces premiers francs-maçons, au travail le jour et en tenues de loge la nuit, posaient les fondements de ce qui deviendrait une fraternité mondiale. Les premiers documents comme le Regius (XIVe siècle) et le Cooke (1410-1410), témoignent de cette transition du savoir-faire opératif à une fraternité spéculative sous le regard divin, établissant ainsi l’importance de la géométrie comme art fondamental.